atelier d'écriture en ligne
Il a toujours vécu en Ovalie Ses parents, coquetiers, lui ont transmis leur savoir-faire Tout bambin il fut initié à la délicatesse Quoi de plus doux et fragile Qu’un œuf au creux de la main ? Une pression trop forte, un geste maladroit Et adieu au gagne-pain...
Lire la suiteJe vais vous faire une confidence : Je n’aime pas ça ! Mais alors pas du tout ! D’abord il faut une tenue spéciale. Je trouve plus agréable de trainer en boubou, en nuisette, ou même je l’avoue en tenue d’Eve … Ensuite, il faut faire des efforts. Je pense...
Lire la suite“Hummff... Gronn Beurk Arrgh Hummff...” “Qu'est-ce qu'y dit?” “J'sais pas... ça doit être de l'australien” “Au fait, y parlent quoi les Australiens?” “Bin en principe c'est d'l'angliche... en tout cas c'est ni du castillan ni du portugais” “Pourtant j'...
Lire la suitePlutôt que de les voir Me piquer le ballon Je préfère rien savoir Et me filer un gnon. Nounedeb
Lire la suiteAdversaire A terre Vont en mettre plein la vue A ce trou du... Ah non je censure !! Déjà que casser la figure Me fait mal au yeux Grand dieu, Epargnez-moi les ouïes SVP Roland Thierry D'ailleurs mon cher C'est Roger Couderc Le spécialiste du Rugby ! Il...
Lire la suiteGisel est rentrée à dix-huit heures le cœur au bord des lèvres. C’est à peine si elle a pu lancer un « buenas tardes » à l’adresse des joueurs de dominos attablés à même le trottoir. Rodolfo, son père, comme toujours entièrement accaparé par une discussion...
Lire la suiteJe me suis retrouvé là et je ne sais pas comment. Moi, j'étais dans le grand vent, et aujourd'hui me voilà sur la tête de celui-là. Où est mon cow-boy d'avant? Je crois qu'il m'a perdu aux dés. Encore une fois, maintenant, dans un jeu de société, en gage...
Lire la suiteQuand un honneur se joue à la croisée des tuiles sous son feutre élimé Carlos est volubile au minable tirage ses doigts crispés s'agitent cherchant parmi les points un foutu double huit. Laissant filer son tour, privé de solution il crie à l'attentat,...
Lire la suiteQuand Los Veteranos de La Havane apprirent l'incroyable nouvelle, il y eut plus de bruit dans les rues que pour l'arrivée de Dennis, l'ouragan du 8 juillet 2005. Ils étaient en finale contre ceux de Guantánamo! La nouvelle se répandit comme une trainée...
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