atelier d'écriture en ligne
La suite du texte de Jeanne Fadosi. Sur son passage, le furieux orage de la nuit avait dévasté nombre de nos installations électriques. Avec le jour naissant, la tempête avait repris de l’ampleur comme si l’effet de la timide clarté avait ravivé le bouillonnement...
Lire la suite« Raphaël, toujours la même chose ; applique-toi bon dieu ! Heu pardon, Maître, une bon d ..., une vieille habitude. » « Je te pardonne, mon frère…continue. L’élève t’écoute. » « Je te répète, Raphaël, tu trempes le bout du pinceau, tu essuies les gouttes...
Lire la suiteOn nous avait appelés pour une simple goutte d'eau qui avait fait déborder le vase, aussi y sommes-nous allés avec beaucoup de décontraction, sans sirène ni gyrophare, avec juste une éponge pour essuyer la toile cirée. De toutes façons, il y a toujours...
Lire la suiteLa ville au bord de l’eau endormie sous chape de paix laisse crépiter ses noyaux au rythme de ses rêves — Oh temps des bulles mauvaises ! Les nuages plantent leurs racines — élec- -trisent. Orage ensemence ton ciel d’arborescences. Foudroie lentement...
Lire la suiteUn soir d’orage, c’est souvent ainsi que commence une histoire. Quelle soit d’amour, d’aventure, de rencontre. Je ne dérogeais pas à la coutume, un certain soir d’orage. Je sortais du travail, l’esprit vidé par une journée pénible. Ma voiture, garée le...
Lire la suiteMe voilà, pauvre petite humaine effrayée, recroquevillée dans son lit ! Ce bruit me tétanise, et je me rend compte a quel point j'aurais envie que quelqu'un me réconforte. Mais je suis seule, la, dans cette maison vide et endormie. Je n'arrive plus a...
Lire la suitePanne d'électricité Dans les années 1950 ... Dans la pénombre du vestibule, la petite fille regarde, le coeur en vrille, les sanglots de sa maman. Les larmes ne se voient pas sur son visage, mais elle sait bien qu'elle est toute en pleurs et en tremblements...
Lire la suiteDans la Drôme, poussés par le vent du Midi, les orages de la mi-août basculent l’été dans les prémisses de l’automne. En fin d’après-midi, ils remontent la vallée du Rhône avec leurs cortèges tonitruants de pluie, de foudre et de tonnerre. Les éclairs...
Lire la suiteJ’assistais à une énième réunion ennuyeuse et je laissais dériver mes pensées au gré des rideaux flottants. Ils ondoyaient lentement pendant les rares courants d’air de l’automne approchant. On était combien ? Une bonne cinquantaine, peut-être plus peut-être...
Lire la suite