atelier d'écriture en ligne
Ce banc sur la colline, chahuté par les intempéries, - à peine tenait-il debout - m'incita à m'asseoir dans l'herbe auprès de ses pieds vermoulus. Et là le temps s'est arrêté, plutôt il revenait à sa source. Qui étaient ces hommes ou ces femmes qui s'y...
Lire la suiteCela faisait plusieurs jours qu’on n’avait vu le vieux Marcus dans le quartier, mais personne ne s’en inquiétait. Ce vieux grognon n’attirait pas vraiment la sympathie : il chassait les chiens à coups de pierres, les enfants à coups de pieds, ne répondait...
Lire la suiteElle fredonnait « là-haut là-haut sur la colline » On la r’gardait d’une drôle de mine. Elle laissait passer le temps Allongée sur un banc. Quand elle se mit aux vocalises Richard Strauss fit ses valises. Ainsi parla Zarathoustra, Ce fut de bien haut...
Lire la suiteUn banc une colline et deux amants venus chercher un petit brin d’éternité. Pas le temps de rêver dit le temps qui passait par là sans s’arrêter car time is monnaie comme chacun le sait et je suis déjà fauché. Plus de couleurs non plus dit la nature fatiguée...
Lire la suiteJ’habite sur une colline. Pour tout vous dire, Chez moi, il y a sept collines ; Oui, comme à Rome. Je dois aussi vous avouer Que je n’aime pas grimper Mais quand j’y suis arrivée J’aime un moment m’y arrêter Je n’ai pas besoin de banc en pin Mais il faut...
Lire la suiteLe vent d'autan qui vient de la ligne bleue des Pyrénées fait palpiter les feuilles des peupliers sur la colline. Le vent, le vent. Tu es là ? Je suis là. Je suis le vent. Je suis le vent. Dans la vallée la brume s'attarde au-dessus de la petite rivière....
Lire la suiteOh, oh, oh, mon écho! Odile, sur la colline, line, line, Oh, oh, oh, mon écho! Odile, sur le banc, t'attends, tend, tend, Oh, oh, oh, sans écho! Odile et Ondeline, se chamaillent, maille, maille. Oh, oh, oh, reviens ici mon écho, écho, écho! Co, co, co,...
Lire la suiteSur le banc de la colline, il s’arrête souvent. Sur le banc de la colline, il s’évade. Au-delà de l’horizon un autre monde. Il le rêve, en compose une symphonie faite des vocalises du vent, des chuintements de l’herbe qui pousse, du bruissement des feuilles...
Lire la suiteSur la colline un banc le temps de s'arrêter et de contempler Sur la branche un serin qui fait ses vocalises belle maîtrise Sur mon épaule un temps ta tête s'est posée apprivoisée Dans ta bouche ces mots comme une confession interrogation Au clocher les...
Lire la suiteUn jour, sur la colline, j’ai crié En direction de la vallée : « Ami, tu m’entends ! » L’écho m’a répondu : « Oui j’ai vu un banc! » Un banc ? Je l’ai cherché Je l’ai trouvé. Il était là dans la clairière Ce joli banc vert. Il semblait contempler Les...
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