atelier d'écriture en ligne
/image%2F0555900%2F20151104%2Fob_0f38d2_45.JPG)
Et Rose, elle a vécu ce que vivent les roses, l'espace d'un matin. La clarté de l'aube pénétrant dans ma chambre, à travers les persiennes, je m'éveillai, ce poème aux bords des lèvres. Mon esprit encore embué des rêves de la nuit, je descendis les quelques...
Lire la suite/image%2F0555900%2F20151103%2Fob_6ee078_45.JPG)
De l'autre côté des murs du couvent, se cache une belle rose. Tous les matins, dans son jardin, elle vient. Tout contre les pierres, à guetter son parfum, je me presse. Elle appuie sa main, juste à la hauteur de mon coeur; J'écoute son silence; délicatement,...
Lire la suite/image%2F0555900%2F20151102%2Fob_532a27_45.JPG)
Elle s'appelle Abigail, bien sûr. Comment pourrait-il en être autrement quand on a hérité d'une mère Irlandaise cette flamboyante chevelure de sorcière ? Sa beauté parfaite, elle la doit au pinceau amoureux du peintre qui lui a fait la carnation lumineuse...
Lire la suite/image%2F0555900%2F20151102%2Fob_1d9b06_45.JPG)
En arrivant sur un continent inconnu Je croyais que ce serait la fin du monde Ce fut finalement une renaissance A deux mille kilomètres, ce pays inconnu Ce n’était pas une question de climat Bien qu’il soit, il faut le dire, bien agréable Ce n’était pas...
Lire la suite/image%2F0555900%2F20151101%2Fob_da7a8e_45.JPG)
En mémoire… Femme vulnérable et solitaire Condamnée par le destin Elle l’est. Enfermée dans sa prison d’oubli Cet asile doré Où chaque matin Elle descend dans un jardin Enveloppée d’un voile bleu Qui prend si bien la lumière de l’aube Et fait si tendrement...
Lire la suite/image%2F0555900%2F20151101%2Fob_f74174_45.JPG)
La mignonne pleurait et frisait la névrose alors que flamboyaient lupins et primeroses ses roses Renaissance étaient d'humeur morose leur feuillage grognon, atteint de sinistrose Leurs bois étaient tordus, noueux, perclus d'arthrose et les feuilles rouillaient,...
Lire la suite/image%2F0555900%2F20151101%2Fob_e4fc50_45.JPG)
Mais qu’est-ce que je fiche dans cette galère ?... Cinq heures du mat’, à poil sous un déshabillé de dentelle et pieds nus dans la terre, tout ça parce que Machin a décrété que la luminosité est parfaite au lever du soleil… Si j’avais moins mal au crâne,...
Lire la suite/image%2F0555900%2F20151101%2Fob_8a3587_45.JPG)
Quelle passion se cache dans sa main qui rêve en offrant la fleur tendrement amenée ? Le corps, nonchalamment vêtu, laisse échapper la chair claire en attente d’autres extases Et les perles des cheveux dissimulent l’accablement des épaules . Seules, deux...
Lire la suite