La folie des grandeurs. Miche

sujet 45/2019 - clic

Vous savez pendant la "dernière guerre"

Celle que les plus jeunes ne connaissent que dans les livres

Et dans les films

Il y avait l'horreur à côté du clinquant

La fête et la détresse

La lutte et la soumission

La faim et le marché noir

Etc.

C'est étrange comme cette image, ce gros nœud, ce miroir

Ces petits personnages me font penser à ça

Les grands discours du petit moustachu si cruel

Devant ces foules réglées, bras dressés

Face à face pour la destruction

Il n'y a pas eu de Victoire

Si non, nous n'en serions pas là...

La dichotomie s'affiche à chaque coin de rue.

Le blog de Miche

Comments

[JaK]

oui en 40 on avait des oranges pour nous consoler
et du haut de mes cinq ans, j'en était réjouie alors!

[Mony]

De ce nœud géant au petit moustachu il fallait oser le lien… Comme quoi l'esprit est toujours en éveil. Des nœuds dans les cheveux, un tricot fait de laine d'un cardigan détricoté, une jupe confectionnée avec le tissu d'un ancien pardessus… les jeunes filles de ma famille ont résisté à leur manière à l'oppresseur en restant coquettes quoi qu'il arrive.

[laura]

vu hier "Une vie cachée"

[AniLouve]

Indécence s'affiche plus lumineux que la détresse.

[Lecrilibriste]

A lire vos textes, il semble que nous ne soyons pas tous des jeunots, non ?

[Jamadrou]

Pour que les gros noeuds existent il a fallu qu’une comparaison se fasse donc un jour des petits noeuds sont nés
Les petits noeuds peuvent se défaire avec facilité si dextérité et volonté sont au rendez vous mais comment défaire un noeud aussi gros et placé aussi haut?

[jill bill]

La dichotomie a exister et existera encore... par tous les temps, ceux qui vivent bien et ceux qui vivent mal... eh oui Miche !