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24 janvier 2021 7 24 /01 /janvier /2021 16:06

sujet 04 /2021 - clic

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Nul besoin d’aimant pour que l’ensemble tienne.

C’était la portion manquante, tant et tant recherchée.

Coudre, encore et encore, pour terminer, parachever.

 

Dans l’ombre, la nuit, tant d’efforts insoupçonnés, discrets et secrets pour ce qui serait son chef d’œuvre mais aussi son offrande, son tribut.

Mais aussi, inévitablement, son cadeau d’adieu.

Avant de tailler la route, au mieux.

 

Après.

Après, ne pas penser une seule seconde échapper aux questions.

A l’incompréhension et aux réactions horrifiées en cascades, de découverte en découverte. Comment se faire tailler un costard sur mesure mais sans mesure.

 

Avoir s’être imaginé et même vu covedette, il avait fallu se résigner, être utile autrement.

Se préparer. Relire et s’inspirer de Mary Shelley.

 

« Ils » ne comprendraient pas.

Pas grave, « ils » ne comptaient pas.

Mais lui ?

 

Depuis le temps qu’il réclamait une doublure.

 

 

Le blog de K

commentaires

J
Frankenstein... ah lui qu'importe le costume, il en resterait un monstre, unique, sans doublure ! ;-)
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K
Du moment qu'on voit pas trop les coutures !
L
Ce que je comprends de l'histoire en pointillé, c'est triste mais pas vraiment !
Répondre
K
C'est surtout dramatique. Le ressentiment qui te conduit aux monstruosités !
M
Et bien tu auras taillé ce costume à l'aune d'un sacré monstre sacré. Je me régale toujours de voir vers quels univers différents peut conduire une image. Bravo pour l'originalité.
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K
Merci, oui les angles, les approches, toujours un régal.
C
Quelle énigme pour une veste ! Bonne soirée. Daniel
Répondre
K
A ne pas retourner ! Merci Daniel.

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