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23 avril 2012 1 23 /04 /avril /2012 17:55

 

Quand mon esprit se cogne, lourd
A ses murailles maussades
Le ciel est gémissant et sourd
Aux chimériques croisades

Quand l’horizon, terne et couvert
De peur, encercle l’avenir
Je parcours seule mon désert
L’espoir n’est plus que souvenir.

 

Enriqueta

commentaires

V
<br /> Un "Au plus bas" porté bien haut ... bravo Enriqueta<br /> <br /> <br />  <br />
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A
<br /> Un mur gris qui asphyxie...<br /> <br /> <br /> Merci pour vos mots en partage<br />
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J
<br /> La vie comme elle va... Jill bien amicalement !<br />
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A
<br /> <br /> Quand mon esprit lorgne, sourd<br /> Ses murailles  grisâtres<br /> Le ciel est opressant et lourd<br /> Aux diaboliques batailles<br /> <br /> Quand la perspective terne et verticale<br /> D'angoisses, emmure les désirs<br /> Je parcours seule mon dessein<br /> L’espoir n’est plus que souvenir.<br /> <br /> <br />  <br /> <br />
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E
<br /> angoisse et désespoir...<br />
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C
<br /> Il y a des jours comme ça qui ne sont que grisaille et c'est vrai que la photo de ce mur gris induit cela aussi!Bonne soirée à toi Enriqueta! Cordialement Chloé<br />
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S
<br /> Dur constat! Pour plusieurs, réalité.<br />
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M
<br /> Ciomme j'aurais aimé une petite lueur d'espoir. Mais certains jours, notre esprit nous le refuse...<br />
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C
<br /> Baudelairien !<br /> <br /> <br /> Carole<br />
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