sujet 28/2021 - clic
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Arbre planté sur la falaise,
Tu n’es plus très balaise
Modelé par le vent du large,
Par les feuilles tu n’es plus surchargé
Tu regardes les gros bateaux
De l’eau, les châteaux.
Vont-ils perdre un conteneur,
Non ! C’est un démineur.
Planté par une main inconnu,
À ses pieds, aucune avenue.
Il est devenu du sommet le favori,
Malgré ses pales colories,
Des photographes,
Il deviendra un épigraphe,
De la couverture d‘un livre,
Il vas revivre.
Une seule branche a gardé un petit havre de verdure,
Une vraie soudure.
Un petit air de vie pour le tronc,
Un simple plastron.
Éternel arbre de vie
Qui appelle la survie.
L’arbre n’est pas mort
Il accepte son sort.
Le vent du large,
A façonné ce mirage,
Sans donner le nom des trois figures,
Qui regarde une mer trop dure.
Les caprices des vents du large
Qui laissent leurs empruntes en surcharge.
Éternel maîtrise sur l’homme
Un vrai médium.
L’auteur a planté son décor dans un arbustre
Bien vert au milieu de la nature.
Transformation de l’original
Pas tout à fait légal !
Aux poètes d’assumer la transformation,
Par une autre création.
Mon esprit a fait sa part,
Il n’a versé que des arrhe.
Le blog de Chatondaniel