atelier d'écriture en ligne
Pas facile.... Telle que vous me voyez je suis en train de relire le contrat de travail que m'a envoyé Mr Bannister pour remplacer leur nurse qui vient de les quitter. Mes bagages ainsi que mon ombrelle sont rangés dans le coffre prévu à cet effet au...
Lire la suiteChapitre 3 Soleil couchant Forêt muette Dehors, plus rien Angoisse du jour enfui Je suis seule cette nuit Même pas l'ombre d'une ombre Que le ronron du train, Interminable Je m'enfonce dans le tunnel Sous la couette Bien au chaud Je ne vois plus rien...
Lire la suiteUne divine Angevine Il y a quelque chose qui cloche ici. J'ai reposé le « Canard enchaîné » à côté de moi sur la banquette. Plus rien ne m'y faisait rire ou sourire à part quelques dessins et de toutes les façons j'avais bien du mal à me concentrer sur...
Lire la suiteà quoi pensent les jeunes filles ? Ils sont partis, tous. quand les hommes brunis, avec leurs bottes brunes ont repéré les cinq hommes blancs éclairés par leur pull blanc ils ont souri. Les hommes blancs ont compris les coups, les cris, la folie, la haine...
Lire la suiteParfums de femme. - Allo ? oui Karine. … - Ah, tu as changé d'avis ? … - Tu aurais pu t'en rappeler, quand même, que ta mère est allergique aux fraises. Mais tu as commandé à la fraise, pas sûr qu'ils auront autre chose, surtout en semaine. … - Ok, s'ils...
Lire la suiteAvenir, à venir. Seule sur le siège de ces premières désuètes et minables. Seule. La solitude est transparence de soi. Ici, la solitude s’impose en forme et en couleur. Seule. Et les insupportables lectures de train. Journaux, dossiers, romans, tout ce...
Lire la suiteIci. Là, dans le train. Sur ce siège, tu me manques. Tu me manqueras toujours. Je dois vivre avec ce vide qui creuse un peu plus mon ventre, là où je pose ce livre qui parle encore de toi. J’ai gardé la chaleur d’une paume trop vite disparue. J’ai parfois...
Lire la suiteUn aller-retour Montréal-Québec Gertrude travaille comme préposée dans un hôpital psychiatrique. Aujourd’hui, elle s’est endimanchée, parce qu’elle prend le train pour aller voir sa grande amie à Québec. Louise et elle se sont connues au travail, mais...
Lire la suiteLe train invisible Il s’avance vers le quai, la nuit s’étale sur ce béton d’après pluie, le panneau de départ n’indique même plus l’arrivée. Au bord de l’escalier mécanique, un contrôleur balance doucement son falot, le train va venir. La machine gémit,...
Lire la suiteJe voudrais comprendre ... Tout semble fuir à part l'orage, cher Hopper ... On a les yeux troublés, la question lancinante. Pourquoi ? Vois-tu comme moi le visage de cette dame concentrée sur quelques pages ? Sens-tu l'indifférence feinte devant tourments,...
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