atelier d'écriture en ligne
Les vagues vont, viennent et ourlent d’écume chantante le sable blond. Dans le ciel bleu de paisibles nuages blancs migrent lentement. Au bord de la grande bleue, ils sont assis, paisibles, heureux. Ici, l’une tricote, l’autre lit. Là-bas, deux groupes...
Lire la suiteIl en est du temps qui passe comme du sable fin qui recouvre la serviette... Ce matin, il y a des nuages dans le ciel. Ils me cachent. Ils font une frontière entre l'envol et moi. Ils me posent. Ils me proposent des petites histoires d'animaux imaginaires....
Lire la suiteQuand le bleu du ciel Rejoint celui de la mer En cette ultime vague Où leurs chants se mêlent. Quand le feu de la terre Appelle celui du ciel En l'espace brûlant où leurs corps se fondent. Que les êtres préssés Sont là à cours d'idées, Pas à pas lentement...
Lire la suiteTe raconterais-je ma chère sœur, notre arrivée à la plage ! Nous étions éreintés par tant d’heures de voyage. Les tains manquent vraiment de confort mais nous fûmes enchantés ; cette plage de sable fin presque blanc nous a ébloui de par sa lumière mais...
Lire la suiteJe te revois, ma mère, assise tout près du sable, sur le petit pliant rouge. Tu portes la robe de plage rayée que tu as confectionnée toi-même dans un coupon d’éponge acheté au marché, d’après un patron relevé dans « Bonnes soirées ». « C’est du dernier...
Lire la suiteAu championnat des branquignols de Ouistreham jusqu'à Trouville il est une épreuve débile c'est le planter de parasol A l'épreuve de tartinage pas un centimètre carré où la main ne va s'égarer c'est patinage et goudronnage Au concours du plus beau maillot...
Lire la suiteL’océan était calme L’eau fraîche Bleu sous un ciel De vapeurs blanches Tous regardaient paisibles Familles rassemblées Dans un repos heureux Du calme de l’été Il y eut dans l’air une vibration Un bruit sombres Ils regardèrent étonnés, Inquiets un peu...
Lire la suiteC’était bien ici, à ce moment là, un jour d’été. L’été où j’ai voulu mourir. Oui, à Nice. Cela faisait chic : elle est morte à Nice. Il n’y avait pas plus bel endroit. La baie des Anges vous mène tout droit au Paradis. Sauf peut-être Deauville. Mourir...
Lire la suiteUn peu à l'écart, comme ça les gens peuvent pas savoir que j'suis avec eux. Pas de quoi être fière. D’abord ma mère, elle est trop grosse pour se mettre en maillot de bain. Mon père, il parle et rit très fort pour épater la galerie. Qu'il croit. J'sais...
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