atelier d'écriture en ligne
A l'époque de grand-mère ce n'était pas pareil. Ce n'était pas pareil disait-elle, recourbée et usée. U sée par le poids du labeur, des douleurs, des souvenirs, elle balbutiait à qui voulait l'entendre. C e n'était pas pareil... O ubliant tout à coup...
Lire la suite* Même au plus fort de l'été, elle n'a jamais trop chaud. Toujours sa petite laine, toujours ses manches longues. Le soleil ne semble lui faire aucun effet. On l'installe confortablement mais très vite elle s'affaisse un peu. Ce qu'elle tient en main...
Lire la suite* Tu es là, assise au soleil, au doux soleil d’un soir de mai, le regard vague, toujours un peu perdu, ou peut-être tourné vers un pays qui n’existe que dans l’univers parallèle que tes vieux jours ont pour toi forgé. On voudrait pouvoir le partager avec...
Lire la suiteIl se souvenait bien de ce moment-là. Il avait troqué ses pinceaux pour un crayon, le plus silencieusement possible, pour ne pas rompre le charme de l'instant. Quelques croquis à grands traits, des mots pour les couleurs, une photo ; comme celle qu'il...
Lire la suiteSur internet ils avaient dit : notre maison de retraite offre un accompagnement aux personnes âgées, leur permettant de palier aux difficultés auxquelles elles ne peuvent plus faire face. Nous désirons instaurer des liens de confiance avec les résidents...
Lire la suiteTout d’abord, je remercie Miletune d’avoir choisi une de mes peintures pour la soumettre à votre interprétation. Il est toujours intéressant et amusant de découvrir ce que d’autres ont vu à votre place, et j’ai eu plaisir à lire vos textes. Assez paradoxalement,...
Lire la suiteC 'est avec une lenteur spectaculaire qu'elle tendit la main pour éteindre la sonnerie fracassante son réveil ; elle avait choisi pour sortir de son lit, un réveil de cuisine en métal argenté, comme ceux qu'on posait autrefois sur les frigos et qui sonnait...
Lire la suiteMarceline, c'est moi, ta petite Camille, que tu appelles "ma douce". Je te trouve jolie avec la capeline que tu dis "impériale" parce qu'elle te rappelle un portait d'Eugénie, et ta "petite laine" tendrement assortie. Vers quel monde englouti plonge ton...
Lire la suite* Extrait du journal de Madeleine / 6 juin 2012 Par ce bel après-midi de juin, assise au jardin, je lis cette phrase du livre de Stefan ZWEIG "24 heures de la vie d’une femme" que j’ai relu de nombreuses fois tant je l’aime…... Je relis une nouvelle fois...
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